mercredi 30 janvier 2008

[Music] © Patrick Fiori : Que tu reviennes




Que tu reviennes

Album: Chrysalide

Encore un jour qui se lève
Encore un jour inutile
Où la vie balaie les rêves
Alors qu'ils étaient tranquilles

Les bateaux quittent le port
Quitte à ne jamais revenir
Poussés par des vents plus forts
Comme ceux qui t'ont fait partir

Et du passé qui s'endort
Et plus rien à retenir

Que tu reviennes
Je ne m'y attends plus
Que tu reviennes
J'ai tellement attendu
Des jours et des semaines
Des mois peut-être plus
Autant que je m'en souvienne
Je crois que tu ne m'aimais plus

Que tu reviennes
Je ne m'y attends plus
Que tu reviennes
J'ai tellement attendu
Des jours et des semaines
Des mois peut-être plus
Autant que je m'en souvienne
Je crois que tu ne m'aimais plus

Encore un soir qui s'achève
Dans cette chambre immobile
Et pourquoi me lèverais-je?
Et pour qui le faudrait-il?
C'est du passé qui s'endort
Je n'ai plus que des souvenirs

Que tu reviennes
Je ne m'y attends plus
Que tu reviennes
J'ai tellement attendu
Des jours et des semaines
Des mois peut-être plus
Autant que je m'en souvienne
Je crois que tu ne m'aimais plus

jeudi 24 janvier 2008

[Music] © Zazie : J'étais là

Le tout nouveau clip de Zazie 'J'étais là', extrait de l'album 'Totem'



Et voici ,comme à chaque fois, le texte de la chanson.

J'étais là
Album: Totem

J'étais là tu vois, lui à côté de moi
On avait six ans
On jouait comme des enfants, au docteur
Au docteur

J'étais là, je voyais sur son corps les plaies,
Les marques, les bleus
J'en croyais pas mes yeux,
Mes yeux

Et lui qui m'disait "J'suis un dur
Tu vois les brûlures là, sur mes bras
J'les sens pas
J'les sens pas"

J'étais là, j'ai rien dit
Et puis j'suis partie de chez lui
Si j'y suis retournée ?
Plus jamais
Plus jamais

J'étais là, comme lui, j'avais quinze ans à peine
On était dans la cave, chez ses parents
Je l'aimais tant
Faut dire qu'il était beau, mais il se piquait, mon héros, à l'héro
J'étais là quand sa mère est venue me dire
"C'est fini ! On l'enterre lundi
Lundi"

J'ai pleuré bien sûr, j'ai pleuré
Puis j'ai recommencé à traîner dehors
Dehors

J'étais là en octobre quatre-vingts, après la bombe Copernic
Oui, j'étais à la manif
Avec tous mes copains
J'étais là, c'est vrai qu'on n'y comprenait rien
Mais on trouvait ça bien
Ça bien

Oui, j'étais là pour aider,
Pour le sida, les sans-papiers
J'ai chanté
Chanté

Sûr que j'étais là pour faire la fête
Et j'ai levé mon verre à ceux qui n'ont plus rien
Encore un verre, on n'y peut rien
J'étais là devant ma télé à vingt heures
J'ai vu le monde s'agiter
S'agiter

J'étais là, je savais tout de la Somalie,
Du Bengladesh et du Rwanda
J'étais là
J'ai bien vu le sort que le Nord réserve au Sud
Bien compris le mépris,
J'étais là pour compter les morts
J'étais là et je n'ai rien fait

Et je n'ai rien fait

J'étais là pourtant
J'étais là et je n'ai rien fait
Je n'ai rien fait

dimanche 20 janvier 2008

[Photo] Promenade nocturne XVII (Fin)

Et pour terminer cette promenade nocturne, voici la dernière photo de cette série.

vendredi 18 janvier 2008

mercredi 16 janvier 2008

dimanche 13 janvier 2008

[Music] © Linkin Park : Shadow of the day

Shadow of the day
Album : Minutes to midnight

I close both locks below the window
I close both blinds and turn away

Sometimes solutions aren't so simple
Sometimes good bye's the only away

[Chorus]
And the sun will set for you
The sun will set for you

And the shadow of the day
Will embrace the world in grey

And the sun will set for you
[End Chorus]

In cards and flowers on your window
Your friends all plead for you to stay

Sometimes beginnings aren't so simple
Sometimes good bye's the only way

[Chorus]
And the sun will set for you
The sun will set for you

And the shadow of the day
Will embrace the world in grey

And the sun will set for you

And the shadow of the day
Will embrace the world in grey

And the sun will set for you

And the shadow of the day
Will embrace the world in grey

And the sun will set for you
[End Chorus]

[Photo] Promenade nocturne X

samedi 12 janvier 2008

[Photo] Promenade nocturne IX

[Music] © Gotye : Hearts a mess

Je viens juste de découvrir cette chanson et cet artiste... et j'en reste encore sans mots. Je crois que le plus simple est de vous laissez le découvrir vous même !

Et comme toujours, voici le texte et la vidéo associée.



Hearts a mess

Pick apart
The pieces of your heart
And let me peer inside
Let me in
Where only your thoughts have been
Let me occupy your mind
As you do mine

You have lost
Too much love
To fear, doubt and distrust
(It’s not enough)
You just threw away the key
To your heart

You don’t get burned
(’Cause nothing gets through)
It makes it easier
(Easier on you)
But that much more difficult for me
To make you see…

Love ain’t fair
So there you are
My love

Your heart’s a mess
You won’t admit to it
It makes no sense
But I’m desperate to connect
And you, you can’t live like this

Love ain’t safe
You won’t get hurt if you stay chaste
So you can wait
But I don’t wanna waste my love

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Et voici le lien vers son site officiel

vendredi 11 janvier 2008

mercredi 9 janvier 2008

dimanche 6 janvier 2008

[Ma vie] Cette nuit, j'ai fait un rêve ...

Cette nuit j'ai fait un rêve. Il est étrange comme certains rêves vous paraissent réels. Malgré tout, je sais que cela n'était qu'un rêve, éphémère, mais il a réchauffé ce coeur glacé par la haine de ton départ précipité. Il n'en devient dés lors que le chapitre qui clôture le livre, la douce chaleur qui réchauffe nos souvenirs.

Le temps d'un moment, tu étais donc là. Avec ce regard empreint de douceur et de malice... Nos regards se croisant, alors que nous contemplions chacun ce corps que l'on connaissait autrefois, je pouvais déceler chez toi les effets du temps. Des cheveux un peu plus longs, des joues plus rondes, un visage aux traits plus mûr, enfin tout ces petits détails qui ont modifié ton apparence et l'image de mon souvenir.

Et puis tout naturellement un léger sourire vint à tes lèvres... Il n'en fallait pas plus pour me décider. Je me suis alors approché de toi, posant fébrilement ma main sur ta hanche. Un geste tant de fois répété, mais qui prenait aujourd'hui une signification si différente. Il allait être le dernier... et cette fois j'en étais conscient!

Ensuite j'ai continué à m'approcher de toi, finissant par venir blottir mon corps contre le tien. Je pouvais sentir ta chaleur, le rythme de ta respiration et ce doux parfum, qui restera à jamais gravé dans ma mémoire comme étant le tien. Et j'ai alors senti ta main venir se poser dans la cambrure de mon dos. Rallumant par ce contact, ce morceau de charbon qui fut éteint par les milliers de larmes versées à ton départ. A mesure que la flamme se nourrit des sensations oubliées qui déferlent en moi, tout autour de moi le monde s'évanouit. Je ne vois que ton regard. Ce regard qui, la première fois que je t'ai vu, m'a conquis sans le moindre effort. Mais aujourd'hui c'est différent, il n'a plus le même sens pour nous... pour moi.

Je le vois qui m'observe, cherchant sans doute ce qui autrefois te plaisait en moi. A mesure que tes yeux dessinent chacun de mes traits, je devine ton désir qui augmente dans une retenue mal dissimulée. Et lorsqu'il est à son comble, j'ai pu le deviner par ce petit détail que tu faisais à chaque fois... tu sais, quand tu mordilles doucement ta lèvre inférieure avec ce petit mouvement de ta langue si caractéristique à ce moment. A mes yeux cela te donnait un charme fou, une attitude si sensuelle. Là je ne pouvais que craquer, devant ce signe... pourtant simple détail... qui embrasait mon corps, explosait mon désir.

Je ferme ensuite mes yeux, approchant doucement mes lèvres des tiennes. Ce moment paraît durer une éternité, mais il reflète assez bien toute cette attente, ces longs moments où j'ai attendu de pouvoir regoûter un jour, à mon fruit défendu. Et ce moment arrive enfin! Toute la tension que j'avais accumulée depuis se dissipe dès l'instant où mes lèvres touchent les tiennes. Instinctivement, nous ouvrons nos bouches, nos lèvres scellent ce baiser, et je peux alors sentir la douce caresse de ta langue contre la mienne... décuplant encore mon désir pour ton corps, pour tes baisers. Je suis pris alors dans un tourbillon d'émotions, de sensations. Dans ma tête, toutes les images des précédents baisers défilent devant mes yeux. Et je peux alors constater qu'un seul autre baiser m'avait fait le même effet... notre premier baiser.

Ce baiser dura un long moment, mais jamais il ne parut trop long.

Et tout naturellement on a continué à s'embrasser. Nos mains caressant nos corps avec ce mélange subtil et doux, de patience et d'envie. Nos doigts touchant çà et là des fragments d'une peau douce et chaude. L'un contre l'autre, je pouvais entendre le doux murmure de ton souffle dans mon oreille... les caresses de tes lèvres sur ma nuque. Une main passant doucement sur mon corps alors que l'autre a la base de ma nuque maintenait avec une certaine fermeté notre baiser. Pendant ce temps, je pose doucement une main dans la cambrure de ton dos et mon autre main dans ta nuque ... tirant avec douceur et détermination sur mes deux mains pour coller ton corps contre le mien, dans ce désir de ne faire qu'un.

Au fur et à mesure de nos caresses, tes mains finissent par glisser un doigt après l'autre en dessous de mon t-shirts. Venant chercher le contact avec ma peau, la chaleur de mon corps qui ne fait qu'augmenter. Ce contact déclenche en moi une série de frissons qui descendent tout le long de ma colonne. Je ne peux désormais contrôler ce désir, de moi aussi toucher ta peau. Avec moins de retenue que toi, je glisse mes deux mains sur ta peau douce et chaude, découvrant sous mes doigts chaque reliefs de ton corps... chaque imperfections qui le rendent unique.

Dans cette passion charnelle, on finit par se retrouver nu. Je caresse chaque centimètre de ta peau du bout des doigts. Goûte de mes lèvres, de mes baisers... ta saveur unique et particulière. Et toi ! Toi, tu joues la partition de mon corps, devinant la technique unique requise pour jouer de cet instrument. Celle qui permet de ne faire qu'un avec son instrument... Tes lèvres embrasent ma peau de leurs caresses humides. Durant ces moments, jamais ton regard ne quitte le mien... Toujours les yeux dans les yeux, parfois ne les fermant que lorsque l'on s'embrasse, à nouveau dans cette passion qui nous entretenait autrefois. Nos corps ne s'écartant l'un de l'autre que rarement, pour finalement revenir avec sensualité s'unir à nouveau. Et vient, pour signer l'apothéose de ce moment, un long frisson parcourant tout entier nos corps, comme une décharge électrique, suivie d'une agréable chaleur rayonnante qui se dissipe lentement.

C'est alors que la passion s'est dissipée, le désir c'est calmé. Nos corps dans un souffle haletant se détendirent complètement. Couché l'un à côté de l'autre, ma tête au creux de ton épaule, je pose la main sur ton torse. Je peux y sentir le va et vient de ta respiration et les battements de ton coeur ,qui cherche encore à compenser l'intensité de ce moment passé ensemble. Après quelques minutes, tu poses ta tête contre la mienne. Je suppose que tu fermes les yeux, ta respiration est devenue plus calme... plus régulière. Tu as du paisiblement sombrer dans le sommeil. En tout cas moi, j'ai sombré.

A mon réveil, tu étais toujours là. Nous n'avons échangé aucun mots. Mais par nos regards, nous avions compris que c'était là le dernier moment... Une dernière fois tes lèvres cherchent les miennes, ta langue cherchant un passage au travers. Naturellement j'accepte ce dernier baiser. A lui seul, il renferme tout ce qu'il s'était passé ces dernières heures.

Tu pousses les draps vers moi dans un souffle et te lèves me jetant quelques regards timides. Tu prends tes vêtements et alors que tu me regardes, tu commences à te rhabiller. Ton corps velouteux baigne dans la douce clarté du matin, qui filtre à travers les tentures blanches de la chambre. Chaque geste est teinté de charme et de sensualité à cet instant.

Tu restes là quelques minutes encore. Toujours sans un mot. Mais je pouvais lire tellement de choses dans ton regard. Tout comme toi, sans doute, dans le mien. Tu fermes calmement les yeux en te tournant vers la porte. En quelques pas tu es déjà devant elle et dans un dernier mouvement de tête, tu me regardes quelques secondes, baisses les yeux et finalement franchis la porte.

Je reste seul. Assis, la couette duveteuse sur les jambes, le sourire aux lèvres. Voilà ce qui restera à jamais gravé comme la fin de notre époque. Le chapitre final de notre histoire. Un dernier moment de partage, de don de soi envers l'autre.

Pour résumer ... ma ... FIN HEUREUSE !


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Ce texte n'est pas parfait, mais il est le premier long texte que j'ai pu écrire. Face à ça, je me suis embrouillé dans les temps employés, les répétitions inutiles, phrases inutiles et autres.

Mais c'est comme ça... au début on commet tous des erreurs , d'ailleurs ne les appellent-on pas ' Erreurs du débutant ' pour cette raison ? Alors, je n'allais pas attendre pour publier ce texte.

Mais trêves de bavardages. Qu'en pensez vous? Quelles sont vos réactions? Car je suppose qu'au fond c'est cela que j'attends de vous lorsque je publie un texte. Vos remarques, critiques, commentaires, encouragements (éloges peut-être? Ben quoi c'est toujours permis de rêver non ^^, )

[Photo] Promenade nocturne III

vendredi 4 janvier 2008

[Photo] Promenade nocturne (Première partie)

Vous retrouverez ici, pendant ces prochains jours, une nouvelle photo chaque jour d'une série que je viens de publier sur mon site.
[ Voir le site ]


Elle est intitulée 'Promenade nocturne'. Découvrez la ville de Namur sous un autre oeil ... nocturne cette fois. Plongez vous dans l'ambiance qui s'en dégage une fois le soleil couché et voyez cette demoiselle parée de tous ses feux! J'espère que vous apprécierez la balade ...

Voici la première photo. N'hésitez pas à laisser une trace de votre balade en commentaire ^^,


jeudi 3 janvier 2008

[Photo] Chats de vitrine



Bonne année 2008 à tous !


Je vous souhaites à tous une très bonne année 2008.

Que vos projets se réalisent et qu'elle vous apporte amour, bonheur, santé et prospérité.