vendredi 28 décembre 2007

[Photo] Joie enfantine


La série complète

vendredi 21 décembre 2007

[Photo] Milou



jeudi 20 décembre 2007

mardi 18 décembre 2007

[Photo] Emilie

samedi 15 décembre 2007

jeudi 1 novembre 2007

[Music] © Aaron : Le tunnel d'Or

Album : Artificial Animals Riding On Neverland



Regarde, il gèle
Là sous mes yeux
Des stalactites de rêves
Trop vieux
Toutes ces promesses
Qui s’évaporent
Vers d’autres ciels
Vers d’autres ports
Et mes rêves s’accrochent à tes phalanges
Je t’aime trop fort, ça te dérange
Et mes rêves se brisent sur tes phalanges
Je t’aime trop fort
Mon ange, mon ange
De mille saveurs
Une seule me touche
Lorsque tes lèvres
Effleurent ma bouche
De tous ces vents,
Un seul m' emporte
Lorsque ton ombre
Passe ma porte
Et mes rêves s’accrochent à tes phalanges
Je t’aime trop fort, ça te dérange
Et mes rêves se brisent sur tes phalanges
Je t’aime trop fort
Mon ange, mon ange
Prends mes soupirs
Donne moi des larmes
A trop mourir
On pose les armes
Respire encore
Mon doux mensonge
Que sur ton souffle
Le temps s’allonge
Et mes rêves s’accrochent à tes phalanges
Je t’aime trop fort, ça te dérange
Et mes rêves se brisent sur tes phalanges
Je t’aime trop fort
Mon ange, mon ange
Seuls sur nos cendres
En équilibre
Mes poumons pleurent
Mon cœur est libre
Ta voix s’efface
De mes pensées
J’apprivoiserai
Ma liberté
Et mes rêves s’accrochent à tes phalanges
Je t’aime trop fort, ça te dérange
Et mes rêves se brisent sur tes phalanges
Je t’aime trop fort
Mon ange, mon ange

dimanche 23 septembre 2007

[Music] © Zazie : Je suis un homme

Album : Totem

Je suis un homme de Cro-Magnon
Je suis un singe ou un poisson
Sur la Terre en toute saison
Moi je tourne en rond, je tourne en rond.

Je suis un seul puis des millions
Je suis un homme au coeur de lion
A la guerre en toute saison
Moi je tourne en rond, je tourne en rond.

Je suis un homme plein d'ambition
Belle voiture et belle maison
Dans la chambre ou dans le salon
Moi je tourne en rond, je tourne en rond.

Je fais l'amour et la révolution
Je fais le tour de la question
J'avance, avance à reculons
Et je tourne en rond, je tourne en rond.

Tu vois, j'suis pas un homme,
Je suis le roi de l'illusion
Au fond, qu'on me pardonne
Je suis le roi, le roi des cons.

Je fais le monde à ma façon
Coulé dans l'or et le béton
Corps en cage, jeté en prison
Moi je tourne en rond, je tourne en rond.

Assis devant ma télévision
Je suis de l'homme, la négation
Pur produit de consommation
Oui, mon compte est bon
Mon compte est bon.

Tu vois, j' suis pas un homme,
Je suis le roi de l'illusion
Au fond, qu'on me pardonne
Je suis le roi, le roi des cons.

C'est moi, le maître du feu,
Le maître du jeu, le maître du monde
Et vois ce que j'en ai fait,
Une Terre glacée, une Terre brûlée,
La Terre des hommes que les hommes abandonnent.

Je suis un homme au pied du mur
Comme une erreur de la nature
Sur la Terre sans d'autres raisons
Moi je tourne en rond, je tourne en rond.

Je suis un homme et je mesure
Toute l'horreur de ma nature
Pour ma peine, ma punition,
Moi je tourne en rond, je tourne en rond

Je suis un homme et je mesure
Toute l'horreur de ma nature
Pour ma peine, ma punition,
Moi je tourne en rond, je tourne en rond

Moi je tourne en rond, je tourne en rond


Et voici le clip. Il est percutant mais tellement vrai !

jeudi 30 août 2007

[Texte] © Mickey 3D : Respire

Album : Tu vas pas mourir de rire

Approche-toi petit, écoute-moi gamin,
Je vais te raconter l'histoire de l'être humain
Au début y avait rien au début c'était bien
La nature avançait y avait pas de chemin
Puis l'homme a débarqué avec ses gros souliers
Des coups d'pieds dans la gueule pour se faire respecter
Des routes à sens unique il s'est mis à tracer
Les flèches dans la plaine se sont multipliées
Et tous les éléments se sont vus maîtrisés
En 2 temps 3 mouvements l'histoire était pliée
C'est pas demain la veille qu'on fera marche arrière
On a même commencé à polluer le désert

Il faut que tu respires, et ça c'est rien de le dire
Tu vas pas mourir de rire, et c'est pas rien de le dire

D'ici quelques années on aura bouffé la feuille
Et tes petits-enfants ils n'auront plus qu'un oeil
En plein milieu du front ils te demanderont
Pourquoi toi t'en as 2 tu passeras pour un con
Ils te diront comment t'as pu laisser faire ça
T'auras beau te défendre leur expliquer tout bas
C'est pas ma faute à moi, c'est la faute aux anciens
Mais y aura plus personne pour te laver les mains
Tu leur raconteras l'époque où tu pouvais
Manger des fruits dans l'herbe allongé dans les prés
Y avait des animaux partout dans la forêt,
Au début du printemps, les oiseaux revenaient

Il faut que tu respires, et ça c'est rien de le dire
Tu vas pas mourir de rire, et c'est pas rien de le dire
Il faut que tu respires, c'est demain que tout empire
Tu vas pas mourir de rire, et c'est pas rien de le dire

Le pire dans cette histoire c'est qu'on est des esclaves
Quelque part assassin, ici bien incapable
De regarder les arbres sans se sentir coupable
A moitié défroqués, 100% misérables
Alors voilà petit, l'histoire de l'être humain
C'est pas joli joli, et j'connais pas la fin
T'es pas né dans un chou mais plutôt dans un trou
Qu'on remplit tous les jours comme une fosse à purin


En bonus, voici le clip.

jeudi 16 août 2007

[Music] © Ivri Lider : Jessy et The man I love


© Ivri Lider.com

Ivri Lider est un artiste Israélien. Il est gay et n'a pas peur de le cacher... Il faut une certaine dose de courage et de volonté pour oser s'affirmer dans un pays comme le sien.

Mais bon ce n'est pas parce qu'il est gay que je désirais vous faire écouter ces chansons. Mais tout simplement parce que j'aime ses musiques et ses textes. ( Tout comme sa bouille mais je m'égare là ^^, )

Enfin, si certains ont envie d'en découvrir plus à propos d'Ivri Lider, voici le lien de son site officiel


Jessy




The man I love
Pour la deuxième chanson il s'agit d'un titre de la BO du film "The Bubble" d'Eytan Fox. Le plus intéressant et courageux réalisateur israélien, nous raconte cette fois-ci les amours d'un jeune israélien et d'un jeune palestinien



jeudi 19 juillet 2007

[Photo] Florent


Retrouvez le reste de cette mini-série dans la partie 'Photographies' de mon site officiel

mardi 17 juillet 2007

lundi 16 juillet 2007

[Proverbe] Tellement vrai ...

" La vitesse de la lumière étant plus rapide que celle du son, un gars nous tape d'abord dans l'oeil avant de se rendre compte qu'il est con "

jeudi 5 juillet 2007

[Ma vie] Sombre prison

Je suis enfermé tel un oiseau en cage... mon corps est devenu ma prison et je tente de trouver la sortie. Autour de moi les murs sont éloignés et sombres, recouverts des cendres de ma vie. Il n'y a pas de fenêtre, juste cette lueur intense que je ne peux distinguer, qui descend du plafond. C'est le silence.... Aucun repère temporel, pourtant le poids des nuits et des jours se fait ressentir de plus en plus lourdement.

J'ai beau frôlé les murs je n'y trouve aucune porte. Je commence alors à crier... aussi fort que je peux, de toutes mes forces jusqu'à ce que ma voix se mêle au silence de ma prison. Viens alors les larmes à mes yeux... ces larmes que je tant voulu retenir. Au début elles brûlèrent mes yeux, ensuite adoucirent mon regard... ce regard qui étaient devenu si net, si tranchant; sombre et triste à la fois. Et puis ces larmes finirent par couler sur mon visage, le lavant de cette cendre qui avait finit par figé cette expression de tristesse, au fur et à mesure des couches qui si déposèrent. Certaines de ces larmes finirent leurs courses sur mes lèvres, où elles se mélangèrent avec les sanglots de ma voix retrouvée. D'autres par contre, arrivèrent jusqu'à mon coeur où elles calmèrent mes peines, mes angoisses...

Dans mon esprit des milliers de pensées défilent à un rythme effréné ! La plupart sont banale et sans importance, mais parmi elles se trouvent d'autres dont le poids de leurs sens est bien plus lourd, profond... Cependant il n'est pas facile au début de débusquer ces pensées, elles passent depuis tant d'années dans mon esprit qu'elles en sont devenues transparentes, presque inexistante à ma conscience ... mais pas pour mon inconscient. A force d'essais et d'échecs je finis par apprendre leurs existences, étonné de ne pas les avoir vu plus tôt. Je commence alors à réfléchir à leurs significations. L'ennui avec ce genre de pensées c'est qu'elles amènent toujours d'autres questions... Et c'est alors parmi ces questions qu'il faut chercher où continuer, où se diriger pour aller au coeur de cette introspection. C'est un travail de longue haleine qui demande énormément d'énergie et de courage... il requiert absolument de la volonté, de la ténacité pour ne pas abandonner aux premières difficultés rencontrées... ce serait beaucoup trop facile alors ! Il faut profondément vouloir changer... pour changer. Pas juste parce que ça serait plus cool d'être comme ça ... mais parce que c'en est devenu tellement insupportable que c'est soit changer... soit se décider à mourir à petit feu, dans une souffrance de plus en plus douloureuse.

Viens alors les bonnes questions, qui me conduisent enfin vers les bonnes réponses. Vers ces clefs tant recherchées et qui pourront parvenir à me libérer des chaînes qui entravent mon parcours.

Soudain un léger murmure viens briser ce silence qui m'entoure... un souffle comme celui des vagues lorsqu'on les entends au loin. Il vient de derrière moi, je me tourne et c'est alors qu'une porte commence doucement à apparaître sur ce mur qui devient de plus en plus lumineux. Lorsque la porte fût complètement apparue, ce doux murmure qui berçait maintenant mes oreilles se tût petit à petit... Au fond, je ne sais pas si on peut vraiment appeler cela une porte, cela ressemble plus à une simple ouverture sur ce mur. De cette ouverture, viennent des sons, des émotions, des odeurs, des sensations, des couleurs, ...

Sans que je m'en rende compte, tout cela commence alors à remplir d'une douce chaleur mon coeur, mon esprit ... mon âme. Je me sens bien. Je me dirige alors vers cette ouverture, éblouis par cette lumière intense qui en sort. Tout au long de mon chemin vers cette lumière un nouveau bruit viens s'ajouter aux autres. Un bruit grave et profond, au début il est à peine perceptible mais très vite il se fait entendre dans ma tête.

... boum ... boum ... boum ... boum ... boum ... alors que je passe l'ouverture qui étaient doucement apparue sur le mur, je me rend compte que c'est mon coeur qui bât. Je suis dehors et je ...

VIS


mardi 3 juillet 2007

[Texte] © Zazie : Homme Sweet Homme

Album : 'Zen'

J'ai remis en état
Ton portrait sur le mur
A l'entrée, y'a que toi
Que je peux voir en peinture
Je te ferais du plat
Je suis bonne cuisinière
Je ne ferais plus que ça
De ton corps, si nécessaire,
A mon coeur...

Mon homme sweet homme
Il faudrait faire
L'amour et la poussière
Pour que tu plonges
Mon homme sweet homme
Laisse-moi faire
L'amour et la poussière
Passer l'éponge...

Sur tes envies de toucher
Le coeur anonyme
Des poupées trop gonflées
Par la fronde et la frime
Oublions là nos exs,
Les moutons sous le lit
Laissent un goût de latex
Qui nous passe comme l'envie
Qu'ils nous laissent...
Pour ça,

Mon homme sweet homme
Il faudrait faire
L'amour et la poussière
Le ménage en grand
Mon homme sweet homme
L'endroit l'envers
Je suis bonne à tout faire
Sage comme un mouton blanc...

Mon homme sweet homme
On devrait faire
L'amour et la poussière
Mon homme sweet homme
Dans cette affaire,
Je suis bonne à tout faire


J'ai trouvé tout à l'heure
Près du téléphone
Le nom d'une personne
Ca doit être une erreur
Ce billet doux, vient-il
Du fond de ta poche?
Mais qui est au bout du fil?
Une fille
Je raccroche...

lundi 25 juin 2007

[Texte] © Maurane : Le bonheur

Album : 'Si aujourd'hui'

Le bonheur est passé
A deux doigts de nos lèvres
Deux doigts si fins
Que j'ai presque pu le goûter

Le bonheur a sculpté
De son ciseau d'orfèvre
Les souvenirs
Impossibles à effacer.

Il n'arrivera jamais
Que nous vivions ensemble
Mais maintenant je sais
A quoi le bonheur ressemble
A quoi le bonheur ressemble.

Le bonheur a passé
Comme passe une fièvre
Six jours au lit
Et les symptômes avaient cessé
Toi tu t'es installé
Doucement dans mon rêve
Je suis guérie
Je n'en parle plus qu'au passé.

Il n'arrivera jamais
Que nous vivions ensemble
Mais maintenant je sais
A quoi le bonheur ressemble.

Le bonheur est si beau
Quand simplement il passe
Qu'il ne faut
Jamais vouloir l'emprisonner
Jamais vouloir l'emprisonner.

Le bonheur est passé
A deux doigts de nos lèvres
Deux doigts si fins
Que j'ai presque pu le goûter.

Le bonheur a sculpté
De son ciseau d'orfèvre
Les souvenirs
Impossibles à effacer.

Il n'arrivera jamais
Que nous vivions ensemble
Mais maintenant je sais
Que le bonheur te ressemble
Te ressemble.

mercredi 20 juin 2007

[Ma vie] Arrive le temps du renouveau

Il y a certaines périodes dans la vie où l'on sent que l'on change... que les choses changent. On finit par évoluer et s'ouvrir à de nouveaux horizons. Cette nuit je viens de passer ce cap. J'ai ouvert mon coeur, baisser mes armures... je reste en éveil, à toutes ces possibilités que m'offre la vie. Parmi elles, il y aura cette personne qui arrivera à me charmer par un regard, un sourire, une parole.

Je ne cherche pas à tout prix à me caser... oh non ! ... mon coeur à assez souffert et on apprend toujours des erreurs du passé, du moins si l'on prend la peine de regarder ses erreurs... Je ne veux pas d'une relation bidon juste pour se sentir moins seul. ... très peu pour moi, j'essaye d'être le plus honnête possible. Je veux ressentir l'amour, cette sensation qui bouillonne dans le ventre... ou bien de voir le monde tout autrement, comme si tout était plus beau qu'il ne l'était auparavant. Etre AMOUREUX !

J'ai aussi appris que je veux des moments que je ne contrôle pas, des moments où je ne fais plus qu'un avec l'autre, nos deux corps finissant par se mélanger... Je veux pouvoir avoir une épaule pour me soutenir dans les moments difficiles (et dieu sais qu'il y en a)... une oreille pour écouter mes rires et mes peines... un coeur pour me soulager des peines, mes angoisses...

Etonne moi, enivre mes pensées de ta présence. Sors de cette foule d'être commun et conquiert moi de ta singularité... Apaise moi par tes murmures, embrase moi de tes caresses, calme ma rage de tes baisers... moi je t'offrirais mon âme en offrande, mon corps sera ton sanctuaire. Mon coeur sera tien jusqu'à la fin. Range le où personne ne pourra l'atteindre. Un jour l'amour me surprendra... il sera là où je ne pensais le trouver.

Il ne sert à rien de courir trop vite, les choses se font d'elles mêmes! Alors réveilles toi, l'amour ne se commande pas, il s'apprivoise mais ne perd jamais de sa liberté.
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J'ai écrit cela il y a déjà quelques mois maintenant (Décembre) et je l'avais sauvegardé en brouillon ne sachant pas si j'allais le publier un jour... Et voilà qu'en relisant les différents brouillon que j'ai déjà écrit, celui ci me parle ! Etant perfectionniste, je suis souvent peu satisfait de ce que je fais... mais là avec le recul des mois, je m'aperçois de mon erreur.